Nous nous intéresserons à la place des maths en GEII, en tenant compte du niveau des primo-entrants, des attendus du programme national ainsi que des différences de nos trois parcours.
Contexte :
La dernière commission de maths lors d’un colloque a eu lieu en 2009 à Cachan. Or, depuis, de nombreux changements ont eu lieu : les nouveaux bacheliers, les programmes de BUT, les volumes horaires qui ont fondu…
Après avoir diplômé nos premiers BUT, nous pouvons envisager de faire un premier bilan afin de faire un état des lieux de l’enseignement des mathématiques dans nos différents département.
Nous envisageons d’orienter la commission autour de trois axes :
- Quelles maths pour les bacheliers qui arrivent en GEII ? De quelles connaissances doit-on partir, jusqu’où doit-on aller et comment faire ?
- Constat : Certains de nos étudiants ne savent pas additionner 2 fractions, résoudre une équation du 1er degré….et le programme prévoit de leur enseigner, par exemple, la transformation de Fourier….
- Comment faire ? Avec quelle rigueur ? Avec quel volume horaire ?
- Les maths sont-ils une boite à outils indispensable pour les autres disciplines ou une ressource à part entière pour nos étudiants ?
- Si certains collègues de maths interviennent dans les SAE, comment cela se passe-t-il ?
- Comment faire autre chose que des ‘recettes de cuisine ‘?
- Que faire avec les étudiants qui poursuivent les études ?
- Quelles maths selon les parcours ? Avec l’adaptation locale, certains thèmes, non prévus dans le PN, sont-ils abordés ?
- AII : Robotique …
- ESE : Hyper …
- EME : ???
- Comment les nouveaux chapitres sont-ils incorporés au programme déjà lourd à traiter ?